"Vint un temps où le risque de rester à l'étroit dans un bourgeon était plus douloureux
que le risque d'éclore." Anaïs Nin

dimanche 20 juillet 2008

les bonheurs des vacances du Jardin

"Quand "Femme qui écoute" sentit que la fin du voyage approchait, elle fabriqua un nouvel attrape-rêves. Il n'y avait presque plus de fil, d'étoffe ni de perles, plus d'aigles pour donner leurs plumes...Elle entrelaça ce qui restait, y mis des feuilles de sauge sèches puis s'allongea. Au petit-matin, quand elle ouvrit les yeux, l'attrape-rêves avait bien rempli son rôle. La montagne avait retrouvé ses couleurs, le peuple Anazi était de retour...Alors "femme qui écoute" se leva et rejoignit sa tribu...La vraie vie commençait..."
l'histoire est imprimée sur le socle, la construction est frèle, fragile comme l'espérance des indiens...du papier fin, des herbes, de la sauge, de l'armoise, des collages virtuels et réels, du bois, des perles, du fil et du carton...

3 commentaires:

Anonyme a dit…

c'est si joli, si beau devrais je dire, si délicat.... je suis fan....;

Francoise MELZANI LAURENTI a dit…

o la la j'avais pas vu paisible !!!!
j'adore les attrape-rêves, les amerindiens, leur culture !!!
je craque pour celle-ci, c'est ma préférée, sans aucun doute !!!

Anonyme a dit…

j'adore hillermann, j'ai tout lu et pourtant je n'ai pas fait le rapport avec "femme qui écoute"!
je comprends maintenant pourquoi j'ai été si sensible à sa quête de rêve